L'ÉCRITURE : UN BESOIN VITAL



L’urgence d’écrire

Pris dans le tourbillon de son conflit avec la banque alors qu’il n’entrevoit aucune solution de sortie, sa “plume” sera son ultime souffle quasiment vital . Ces premiers pas seront  pour   une peinture qui pourrait bien être celle du président de la banque de l’époque. Il n’arrêtera ce “tableau”  qu’après épuisement de son imaginaire.


DE LÀ SE DÉVELOPPERONT DEUX DOCUMENTS QUI SERAIENT EN FAIT LES DEUX FACES D'UNE MÊME PIÈCE !


Coté "pile" : "François et ses étoiles" 

Pièce de théâtre, à un personnage, écrite alors qu'il était dans  la tourmente, sous le "joug" de la banque. Ainsi l'on retrouve 
Cette “peinture” évoquée plus haut dans les “Flash “ qu’à  François dans la pièce “François et ses Étoiles”  lorsqu’il veut s’approcher de cette banque qu’il croît sienne. sorte de "coup de pied" de l'âne de ce que la banque lui fait vivre.  


 Coté "face" : « Crédit pour l’enfer » roman
Alors qu'est atteint l'épilogue du conflit avec la banque, il ressent la même urgence comme un besoin aussi vital de réhabilitation !

Il le fera en prenant de plus en plus de distance avec ces 19 ans, sorte d'immense encoche dans le "sablier de sa vie"! Il choisira pour cela d'adopter la forme du roman qui pourrait bien se traduire en film si d'aventure un réalisateur s'y penchait! 
De "Connais-toi toi-même" de Socrate lui viendra l'idée que tout s'explique… Par conséquent ce besoin de revenir sur sa propre histoire…Tel un sportif le besoin de "revoir le film" de l'épreuve. 
Durant toutes ces années, à l’instar d’un "Forest gump" sa seule préoccupation malgré ces chaines au pied, d'avancer… toujours avancer… Ensuite il fera un long apprentissage du conflit porté devant les tribunaux à son initiative… et d’une impossibilité de vie sociale…